Cassées : dents du haut cassées

« j ai fait un horrible cauchemar cette nuit, mes dents du haut ( je crois kil y avait que le haut étaient toutes cassées dans leur largeur et je sentais le froid rentrer a l intérieur et je saignais en même temps. Que cela veut il dire? Y a t il un rapport avec la séparation sentimentale? Je me suis réveillé en regardant si j avais toutes mes dents… » I.A

Interprétation :

Au cauchemar, est souvent associé une peur, une horreur, mais aussi une anxiété, un désespoir et une grande tristesse.
Votre cauchemar se déroule la nuit, ce qui nous indique que c’est votre inconscient qui vous parle.
Les dents du haut nous donnent une indication précieuse : vous êtes touché jusqu’au plus profond de votre Âme, et pas seulement superficiellement dans vos émotions.
Qu’elles aient été cassées dans leur largeur nous suggère de toute l’importance et de la portée de votre rêve. (En long et en large = couvre une grande partie de votre être)
Le froid est toujours relatif à un manque d’Amour, un sentiment profond de solitude.
Votre intérieur est votre cocon, votre jardin secret.
Le sang symbolise une perte de force et de vitalité.
Y a t il un rapport avec la séparation sentimentale?
Oui, bien sûr, vous l’aurez compris en lisant le décodage ci-dessus, tout est relié à votre rupture.
Vous avez été touchée jusque dans votre inconscient, au plus profond de vos cellules, de votre jardin secret, de votre Âme.
Et vous vous sentez seule perdue, et triste.
Vous vous sentez affaiblie.
Déjà du temps de Paracelse, il était dit qu’il fallait soigner par les semblables.
Soignez votre amour blessé, par un autre AMOUR.
Redressez-vous, et regardez devant vous, ce qui vous attend…..

Mais au fait, ce n’était qu’un mauvais rêve…….
Et en vous réveillant, vous aviez toutes vos dents !!!
Les rêves comme les dents vous parlent…..

Contexte :

« Je suis dans une médiathèque de la ville de Paris. Je fais partie du public mais en même temps à un autre moment j’y travaille.
En arrivant je me fais la remarque que c’est la bibliothèque de prêt de la ville de Paris qui a le plus de choix de livres et CD, bien
qu’ils soient mal rangés.
Puis je me rends à un autre endroit à Paris, vers la Sorbonne (où j’ai fait mes études).
Je descends d’un bus et je crains, et en même temps j’espère presque (je suis partagé) d’y croiser mon ex-copine. D’autant que je l’ai déjà vue là peu de temps avant.
Je parle au téléphone (mais en même temps comme si c’était une discussion télépathique) avec mon ancienne directrice de thèse. Elle me donne rendez-vous en un lieu que je ne connais pas, vers la Sorbonne, qui fait partie de la Sorbonne mais ailleurs. Elle prend mal le fait que je ne connaisse pas cet endroit et raccroche en me laissant me débrouiller.
Mais je trouve cet endroit, qui ressemble je crois à l’école polytechnique.
J’arrive dans une grande salle de cours. Mais je dois laisser ma veste au vestiaire. Je m’aperçois aussi, en y allant, que je n’ai pas enlevé mes chaussures alors que j’aurais dû, mais je n’ai pas envie de les enlever.
Au vestiaire, je vois un homme, de mon âge, qui a un bébé.
Je parle avec le bébé, qui a quelques mois. Mais l’homme est en face, comme si le bébé tenait tout seul en l’air.

Au-delà de ses balbutiements, je me rends compte qu’il parle. Ce qui est très étonnant à son âge. Je suis même la première personne à qui il parle. Il me dit que plus tard il aimerait faire des choses avec moi, que par exemple je lui lise des livres. Je suis très content.
Je parle de ça à
a mère qui est à côté, mais je crois qu’elle est mécontente.
Ensuite je vais dans un autre lieu. Je suis devenu une sorte de héros local.
Je suis poursuivi par un groupe de gens, un peuple.
J’arrive à un bâtiment protégé par une enceinte. Ils me lancent des lances (de facture primitive). Je referme la porte et vais me réfugier dans le bâtiment. Je monte des escaliers. Je pense être hors d’atteinte.
Mais je m’aperçois qu’ils me lancent aussi des flèches, qui peuvent m’atteindre, ce que j’appréhende.
Une flèche me transperce. A la poitrine, à droite. Donc pas au niveau du cœur. Mais ça ne me fait pas vraiment mal, c’est plutôt une gêne.
Je me vois de derrière, avec le corps transpercé d’une flèche, comme si c’était quelqu’un d’autre.

Puis j’entre dans le bâtiment, qui est un hôtel ou une auberge mais en même temps une sorte de palais ou château.

Il n’y a personne, seulement une femme, plus âgée que moi, qui est la patronne ou la gardienne des lieux.

La flèche se casse, par devant (je ne sais pas si c’est moi ou elle qui la casse) mais il en reste une partie derrière.

Et au lieu de parler de l’extirper, elle me parle de mes dents.

Elle me montre une radio (qui ressemble plutôt à un schéma) de deux de mes dents. Les racines sont trop courtes. Elle m’explique que c’est à cause du tabac. Il s’agit de dents du haut, peut-être dents de sagesse ou molaires, du côté gauche je crois. Parmi ces deux dents, une racine est plus courte que l’autre.
Mais elle va m’opérer pour soigner ça. Je lui fais confiance et je sais que ça sera sans douleur » Gaylord

Décodage :

Je ne décoderais ici, que la partie concernant les dents, mais il était bon de m’avoir donné le contexte. Je vous en remercie.
Votre rêve se passe dans beaucoup d’endroits différents, mais toujours des lieux publics.
Vous y rencontrez des personnes connues ou inconnues toutes différentes.
Et vous vous retrouvez au milieu de chaque partie du rêve.
Le contexte est clair : vous devez vous poser.
Arrêter de courir d’un endroit à un autre.
Vous avez besoin de vous retrouver.
On vous montre une radio de vos dents du haut, peut-être dents de sagesse ou molaires, du côté gauche je crois.
Le message concerne une partie de votre Etre, que vous devez voir sous un autre aspect.
Il concerne votre personnalité.
Qui êtes-vous vraiment ?
Vous cachez vous derrière un masque ? Si oui pourquoi ? De quoi avez-vous peur ?
Dommage, que vous n’avez pas les dents plus précisément concernées.
Le décodage aurait été plus affiné.
Les racines sont trop courtes.
Les racines de vos dents sont vos bases, les fondements de votre vie.
Vous sentez-vous ancré, bien à votre place dans la société ?
Mais elle va m’opérer pour soigner ça. Je lui fais confiance et je sais que ça sera sans douleur
Vous vous remettez à quelqu’un d’autre. Vous préférez faire confiance à quelqu’un que vous ne connaissez même pas, plutôt que de vous prendre en main.
Pourquoi cette fuite ?
Il n’est pas trop tard.
Soyez qui vous êtes vraiment ! Faites-vous confiance !
Et mettez en application vos véritables choix de vie, sans influence et sans vous laissez agresser.

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