Alimentation et Dépose d’amalgame

Régime alimentaire et dépose d’amalgame et de composite

Mon confrère Hal Huggins, américain, est un spécialiste de la biochimie et de la nutrition.
Très attentif à son alimentation, il se retrouve quand même, à la quarantaine, atteint d’une maladie auto-immune (SEP), sans comprendre ce qui lui arrive.

Se remémorant une conférence du Dr Pinto, brésilien, qui le sensibilise aux troubles occasionnés par les amalgames dentaires. Il décide à déposer tous ses amalgames, un à un. Cela se fera en 6 mois. Ce qui va l’amener à la guérison.

Par la suite,  il devient un ardent propagateur de « la dépose des amalgames », ce qui lui attirera les foudres du conseil de l’ordre, au point de lui interdire d’exercer pendant 25 ans. Mais cela ne l’empêcha pas de continuer ses travaux.

Après quelques années d’études, il constata que lorsque ses patients ne guérissaient pas après la dépose des amalgames, c’était tout simplement qu’ils étaient végétariens, ou végétaliens stricts.

Il leur proposa alors de reprendre pendant quelques temps des protéines animales, et ceux qui l’acceptèrent, guérirent.

Mon expérience :

Au début de ma carrière, j’ai soigné un patient qui était en train de perdre la vue.

Il était convaincu que la macrobiotique seule, allait le guérir. Plus son état s’aggravait, plus il devenait encore plus exigeant avec la macrobiotique, et plus il perdait la vue. Il a causé le désespoir de toute sa famille et ne s’en est jamais remis !

Pour le Professeur Nogier, le sucre était la « maladie aux cent visages ».

Les troubles que le sucre occasionne ne sont malheureusement pas spécifiques : fatigue chronique, baisse de l’immunité… et on ne voit pas les effets arriver.

Sur ses conseils, j’ai donc totalement supprimé le sucre pendant quelques années, avec comme conséquence l’apparition de différentes carences dans mon corps.

Ce qui m’a amené à une conclusion de bon sens : quel que soit votre régime alimentaire, ce sont les excès qui sont néfastes.

Je repris donc la consommation de sucre, mais dans des limites raisonnables.

Autre éclairage sur l’intolérance, l’allergie alimentaire :

Pour connaître si, un  aliment vous convient ou pas, supprimez le pendant cinq jours. Puis reprenez le. Si la digestion qui suit devient longue et laborieuse, l’aliment vous prend plus d’énergie qu’il ne vous en apporte. Supprimez le de votre assiette.

On parle d’intolérance en ce qui concerne, par exemple, le gluten. Le corps considérant le gluten comme une menace va produire des anticorps pour le supprimer. Alors que l’allergie est plutôt une réaction disproportionnée à une information,  considérée comme un antigène, quelle que soit l’origine : médicamenteuse, alimentaire…

Le premier reflexe est de supprimer la protéine (le gluten) ou l’aliment, avec comme conséquence à long terme des manques dans le corps.

Et si vous cherchiez la cause de cette allergie ?

Souvent, la personne intolérante à crée un lien entre un choc psychologique qu’elle a subit et un aliment qu’elle était en train de manger.

Et parfois en cherchant la cause, et en dénouant le lien, en s’aidant de points d’auriculo-médecine, ou de techniques de déprogrammation, suffira pour libérer la personne de cette intolérance.

Dis-moi ce que tu manges et je dirais qui tu es.

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