Composite
Les effets secondaires du composite se retrouvent sur 3 générations
Pathogenesie et isopathique
Dans ma pratique de 40 années, voici un cas réel qui m’a amené à ce que je m’intéresse de plus près , à trouver une solution pour les patients porteurs de composite, mais aussi pour les praticiens, en contact avec des composites en les touchant ou en inhalant des poussières de composite, en fraisant ou en les polissant.
Une patiente vient me voir quelques mois après la pose d’un composite occlusal sur la 47 (deuxième molaire inf. droite) après avoir passé de mauvaises semaines depuis cette pose. La première nuit, elle fut réveillée par une crampe gigantesque dans son mollet droit, des veines saillantes sur toute sa jambe, une brûlure de sa langue, au contact du composite en bouche.
Les jours suivants des grosses plaques rouges brulantes sur son visage apparurent. Une boiterie s’était mise en place.
Au niveau émotionnel, cette patiente remarqua, qu’une grosse colère exacerbée non fondée la gênait, enfouie en elle, et qu’une fatigue extrême se faisait ressentir.
Quelques semaines plus tard, tous les symptômes détectés étaient toujours présents, avec une accélération de la brulure de la langue qui s’étendait maintenant à l’intérieur de la langue et un gout acre en bouche qui persistait.
N’ayant reçu aucune solution de la part de son praticien, elle vient donc me consulter.
Au cabinet, j’ai de suite enlevé le composite selon mon protocole stricte d’énergétique dentaire. Dès le lendemain, cette patiente allait mieux, et elle se rétablissait petit à petit, les symptômes disparaissaient au fur et à mesure.
Mais cela n’avait pas suffisant car l’information composite, était toujours dans ses cellules. C’est là que je compris, qu’il était donc urgent de trouver un antidote, un isopathique dans le langage des homéopathes.
A cet effet j’ai réuni une douzaine de confrères pendant un week end, et nous l’avons fabriqué selon la méthode d’Hahnemann, car il n’existait pas !
A la fin du week end, nous avions non seulement crée le remède, mais aussi relevé le début de la pathogénésie de composite.
Pathogénésie :
Elle consiste de prendre des personnes et de les mettre au contact d’un produit, d’un minéral, d’une plante, etc…soit en les inhalant, les ingérant, injections, etc… et de noter les symptômes, les pathologies qu’ils vont présenter.
Puis dans sa pratique l’homéopathe qui va rencontrer chez ses patients ces mêmes symptômes « il va les guérir » en le prescrivant sous la forme homéopathique.
Pour rappel : l’homéopathie est basée sur une inversion de phase, en diluant de plus en plus le produit et en le dynamisant. En d’autres termes, on peut aussi considérer que l’isopathique est un remède homéopathique prescrit comme tel en fonction des symptômes que présente le patient.
Pour les patients :
Sur le plan physique, au moment de la dépose d’un composite :
L’isopathique en tant que remède, donnera l’information au corps que le composite n’est plus en place.
Sur le plan psychologique :
Il amènera le patient à régler sa problématique, en lui permettant de prendre de la hauteur.
- Soit, il y aura prise de conscience et la force sera là pour résoudre la cause,
- Soit il restera conforté dans son mauvais fonctionnement et aura besoin d’un nouveau dysfonctionnement, pour envisager un changement.
Pour ce faire :
- je préconise dans mon protocole de dépose de composite de mettre dans la cavité dentaire, après avoir enlevé le composite, un coton imprégné d’isopathique composite liquide.
- Pour la dilution, voir la rubrique du site : dilutions homéopathique. Mettre le lien
Ma pratique m’a également appris que la pathologie composite, comme d’ailleurs celle de l’amalgame, peut toucher la santé de nos descendants, sur plusieurs générations.
Y être attentif en fonction du nombre et de l’ancienneté des obturations dans la bouche du patient.
Pour les praticiens :
Au début de ma pratique, les composites étaient polymérisés avec un appareil qui amenait une fatigue, tant pour le praticien que pour son assistante.
Maintenant les « dégâts » sont un peu plus subtils, car les praticiens inhalent petit à petit, tous les jours, des poussières de composites et d’amalgames avec toutes leurs conséquences.
Aussi j’avais pris l’habitude de prendre, ainsi que mon assistante, l’isopathique de composite ou d’amalgame en 200 K à chaque pleine lune, (en alternance composite et amalgame), qui m’a « protégé » pendant toute ma pratique. A bon entendeur !